Tube cathodique catholique croyances chamanique chaos des nuits de cauchemars éveillés aux sirènes du réveil brulures indélébile pour l’expansion du progrès indéfini gngngngfnhz poser des bombes à Genève geoiuubhjkjkjgkkbv attaquer au bazooka, UR%IOUR si tu bouges si tu bronches si tu contestes on te compressera la glotte pour que tu aies mal jusqu’à ce que tu crèves bégébégaiement Tchernobyl migratoires mkjgrqreuQ% ÏOnonnononon nonnonononon le psychopathe te rattrape, justement la pipe de Magritte, vavavavavavava, la position fœtale que tout brule que tout crame ils ont l’armée, lendemains paraplégiques, des bombes partout, délire collectif suicidaire, assauts de l’espèce qui court à sa perte, dictature Establishment, trusts et conglomérats, système monétaire international, banque mondiale, fond monétaire international, tsunami capitaliste qui crève les hommes pas de lumière au bout du tunnel, aux conneries des dogmes et croyances de tout bord, on s’asservit, troc de bons sentiments à défaut d’échange de bons procédés, des virus d’illusions, des chambres à gaz, trippes répandues, quelques pendus à l’entrée du village pour l’exemple, hégémonie peroxydée, empire des temps modernes, , de guerres les survivants de la shoah qui meurent à petit feu, les chambres à gaz, on ne sourcille plus, la banalisation, les chaines de flux d’informations continu, te louperont pas, allez, Bilto, Radio bière foot neige poisseuse, bordel cadenassé, flux monétaires internationaux, survivre de graines de révoltes, l’araignée sa toile tissé, dédales Labyrinthes, on ne voit plus rien renverse des pays, bazarde, napalm, plutonium enrichi, on veut en avoir plein les fouilles on s’en fou, 6ème étage, la lumière des grandes grues qui font tourner le bizness On à Verdun, des bombes atomiques, des des châteaux en Espagne et puis des colliers de perles de diamants, Des centaines de millions de perles de diamants enlacent les étoiles, l’expansion de l’univers des lingots d’or qui s’empilent jusque le ciel, jusqu’à toucher les nuages de la toute puissance des couilles et du pognon, et le pouvoir des hordes de zombis, surgissent des ténèbres, jour après jours ils avancent, des hordes de rmistes des abris anti atomiques, qui se retournent dans leur tombe, zombis éveillés de moutons zombis trompettes de Jéricho, désastre solennel de l’apocalypse finale, , sort de terre, le mouton se retourne dans sa tombe, La société du ko, t sortent de terre, ils ouvrent leurs tombeaux, ils se tiennent debout, tu sais comment marche un mort, le mort vivant se réveille, quand quand on a plus rien à perdre, quand l’esclavage galope sans cesse galope, du mort vivant, les cimetières, les cimetières insomniaques insomniaques des cauchemars insomniaques, insomniaque du monde parce que la banalisation d’images de guerre, de frissons de canapés, d’insécurité grandiose, Chacun cherche sa PPBP, petite parcelle de bonheur personnel. Quitte à écraser ses frères le néant de la même famille consanguins on s’en fou L’employé du mois le mois prochain ce sera moi. ma putain de grosse télévision, je ne vais plus aux élections, je ne sais plus si je me suis déjà inscrit sur les listes électorales. Je ne sais même plus, si j’ai déjà glissé un songe dans l’urne ou juste de la merde. aux mains pleines de sang, on marche dessus les mort, Grève Générale cauchemars des guerres de dissuasion, on est nu dans la neige, la fièvre nous plonge dans le lac gelée, on nage sous syncope, à la découpe de nos envies, éclats sismiques aux feux rougissants de guerres leurs noms de toute façon il faut bien avancer, alors pressons le pas camarade, aux joyaux des profits, on se noie à l’abreuvoir, éventrer aux lames brillantes les yeux dans les yeux, extraire à main nue le cœur palpitant, l’arracher le cœur, Sanctuaires de la modernité carambole la nuit des temps saturés, mécanismes guerriers ravitaillant les engins meurtriers, tu retrouves dans les égouts les moignons des amputations des guerres passés, les morts sur des plaques voutées s’en voguent toutes voiles hissées aux tablatures célestes, décombres des guerres de conquêtes, l’axe du mal, l’asphalte des tonnes d’aciers sectionnées s’effondrant sur elle-même collapse. te décoiffe d’explosion les noms des morts de guerres sur d’infinies plaques voutées aux tablatures célestes s’en voguent toutes voiles hissées en file à l’abattoir jusqu’aux comètes salvatrices de la ville endormie cogne les angles, apocalyptique d’outre tombe ouvre les portes aux galaxies inconnues, tu connais ce rire, joker au regard fou, tu te cognes la tête contre la vitre, la chute est douce, d’infinis bleutés aux clairs de lunes des la raison, passerelles d’outres monde qu’est ce qu’elle fout la personne ne le saura jamais génocide colonial avec les litanies de volutes pourries du pourrissement des êtres mise à mort Morts de dans la tombe rentrez dans le rang la pensée officielle de noirs desseins, déjà mort cadavres sur pattes molécules fission de l’atome trafic du génome des kilomètre et coups de haches de la misère du monde qu’on ne peut pas accueillir ni le bruit ni l’odeur à même le sol parce que tout le monde s’en fou l’ineffable course charniers des bolides de la tôle froissées souffle les fractions rouge aux vagues remouds bande à bader des soubresauts perdue le terrorisme c’est des conneries plonge les peuples dans l’angoisse peur et aujourd’hui les croisades tu ne verras pas demain l’apocalypse finale, des flammes des hordes de pions la milice aux frontières lignes bleue Vosges Maginot France capitule maréchal Pearl Harbour mon amour je t’empaille les cauchemars récurrence de la marche des mouton, la muerte câline à l’âme pervertie éradiquée t’ de la brulure de la place publique des corps on se congratule d’avoir anéanti la résistance, aux abois éventrer les molécules chimères des mammifères se cognant la tête, retranchées dans des contrées d’ivoire d’oubli des perles jaïssantes d’accalmies, désespérances accrues plaies béantes, des banques rougeoyant tu sais de la fumée nous sommes de la poussière de la fumée.
Y'a des fautes de conjugaison, et pas que
Dernières lueurs du jour. De la glace sous l’écorce. L’aurore boréale. Au soir d’hiver. Des pluies de glaces recouvrent la ville d’un manteau de froid.
Chancelle l’instant. Danser à bord de la nuit. Becomes angels. Dissolves reality. Dissoudre la vie. Devenir ange. Cramer des pages, glousser malgré le feu Croquer la neige. Bouillir de flammes. Durer ce que dure les Roses
Courir le silence, dévaler le futur, entamer la traque. Tous les cris les SOS partent dans l’espace. L’oubli vivace, en pierre d’étoiles sur les rochers. On spectateur d’apocalypse, iceberg droit devant. Et pis l’écume elle fait la beauté de le monde. Avec plein de rires de petits n’enfants. Tandis que les croulant s’affaissent et disparaissent. Et que les autres courent, ceux qui peuvent courir.
Boulimique on devient pour s'emplir jusqu'au vomissement
Baver ces jours tendus sur l'écume de nos spasmes
Au rythme endiablé des saisons qui passent sur nous
Les Pulsations cardiaques elles ralentissent
Ébranlé par les ombres des nuits du monde.
Du désert à perte de vie. Au loin, la grouille des Pantins qui s’agitent. La Course à la fuite, nos rugissements intérieurs évanouis. S’absoudre, faire fit d’exister. Sans crier le temps, sans se garder de se garer, un instant.
l’époque de nos joies enfantines, les bonheurs. l’horloge tourne
Dernières lueurs du jour. L’aurore boréale. Au soir d’hiver. Des pluies de glace, recouvrent la ville d’un manteau de froid. Fureur de vivre des volcans intérieurs. Vogue aux réels aveuglés par l’envol de ces contours frissonnants. Laissons passer l’instant. Eclipse du temps, course de rêves. Pages brûlées, fuite endiablé. Pics à glace plantés sur nos Attractions ineffables. Folie de nos points de non retour.
Abolir le mur des lamentations, dévorer l’absence, Crever le secret. Entamer la traque, Courser nos destins, S’absoudre dans l’ivresse. Foutre le feu - Embraser - Tout crâmer. Périr par le feu - S’immoler. Déchirer à coups de cris le poids des murs et des silences. Eveil de nos précieux magnifiques, en nos intérieurs dévoués. Perchés perdus enivrés par les sirènes de la nuit. Dévorer nos pleurs. Nos peurs de ces lendemains cannibales. Où le feu et le sang des déchus. S’éparpille aux 4 coins des passions destructrices.
Eclipse du temps, course de rêves, fuite endiablé
Pages brûlées, pages cramées
Croquer la neige, bouillir de flammes
Folie de nos points de non retour
Nos Attractions ineffables
L’amour qui dure ce que dure les Roses
Eveil de nos précieux magnifiques, en nos intérieurs dévoués
Perchés perdus enivrés par les sirènes de la nuit
Dévorer nos pleurs. Nos peurs de ces lendemains cannibales. Où le feu et le sang des déchus. S’éparpille aux 4 coins des passions destructrices
Cours petite fille. Au salut de ton élancée. Fastes charnels aux confinements des couvres feux.
Gare à toi. Si tu trébuches. Si tu contestes. Tu entendra le martellement du rouleau compresseur. Traine pas les pieds. Files droit devant. Enlace. Tisse. Trace. Files aux vents.
le sang s’écoule le long des crocs du loup, visions étourdissantes, pétris de rugissements intérieurs, jonchées de fulgurances primitives, aux passions dévorantes, l’explosion des absences enfouies, coursives aux embouchures souterraines, aux pétales de roses de l’innocence perdue, tourne l’onde du temps qui passe sur nous sans un bruit les pieds cloués au sol la frise de nos histoires s’effrite obscurcies des phares aux ampoules cassantes, défile les stroboscope perles d’oublis des parcelles s’évanouissent aux brouillards assassins de nos fuites impossibles, nous conduisent aux canaux des passions destructrices, nos pas creusent la ronde des cerceaux, des cerceaux enflammés aux particules infimes, aux sentiers désertiques, Aux contrés des cordes cassantes, on ne peut rien oublier
hordes, PEAU DE BETE
Files aux vents mauvais de l’infernal séjour. la solution finale, c’est une odeur de fête.
Envisager le retrait ?
La force de la prière, la force de l’auto persuasion, la motivation ultime, les furies galopantes, la puissance de l’auto conviction. Public de qualité, vous avez vu, quelque chose a changé. quelque chose a changé. Le changement. Vous avez vu le changement. Le changement maintenant, le changement c’est maintenant. Quelque chose a changé. le changement c’est maintenant. Quoi : le changement. Quand : maintenant. Qu’est qui a changé. Qu’est ce qui changera. Qu’est ce qui change. Comment et quand ça change. Quand est-ce que ça a changé ? Mettre le doigt dessus le changement. Mettre le doigt. Mettre le doigt dessus le changement. Les petits cailloux perdus de la temporalité. Les marqueurs de l’espace temps du changement. Palper les marqueurs du changement. On ne s’en aperçoit pas de quand ça change. On se dit c’est comme ça. Les choses sont comme ça. Mais pourtant c’était différent avant. On vivait différemment. C’est donc bien que ça a changé. Quand est-ce que ça s’est joué. Où est-ce que ça s’est joué. Le changement. Que l’on vit. Aujourd’hui. Les mondes parallèles. L’autre côté du miroir. Les sociétés secrètes. Les forces de l’occulte. Les ficelles au dessus de nos têtes. Les lois anodines. Qui sont autant de révolutions. La révolution du changement pour le grand cataclysme. Le grand esclavage. 365 fois tu appuiera sur la touche coller et puis ça repartira pour un tour. LA force des saisons. LA force de l’oubli. Instable. L’instabilité. Le bancal. Le penché. Le perché. La perche. L’inachevé. Le en cours. Laisser en friche. Ne pas terminer. S’éloigner du morbide. Le figé. Le tout beau. Le tout propre. Vivre dégueulasse. Vies dégueulasses. La dégueulasserie cruelle. La cruauté de la dégueulasserie originelle. La peine de mort proclamée. L’absolutisme vacuitif. Vacuité. Allez les mots qui s’échappent, il faut aller les chercher. Où est-il passé. Il était juste là. Furieux. Il avait disparu. Celui je suis allé le chercher. Je l’ai retrouvé. Vacuité. A quel vitesse ça connecte les neurones. Ça va vite. Ça va aussi vite que les flux. Ça fait des points dans le cerveaux. Des tiges dasn le cerveau. Des barres. Des points précis. Comme une tumeur. Parfois je pense que j’ai un cancer du cerveau. Je sais pas si c’est normal. Comme des barreaux dasn le cerveau. Des tiges métalliques. Nous devenons métal. LA machine. Nous devenons machines. La machine prend le dessus. Elle prend le pas. La machine. NOUs devenons machines. Dépassés par le progrè technique. LE progrès technologique. Les flux numériques. Des kilomères de codes encodés. Semblables. Similaires aux codes adn. Retourner manger. C’éest déjà froid. Déjà froid c’est pareil. Réparer la marche. Il passera réparer la marche. Bien joué. We’ll done. I’ll be in ferblanterie as usual. Cela fait 422 jours que tu m’as quitté. Et j’écoute Scepultura en boucle pour la énième fois. Et je retourne manger. Okiche. We’ll done. La phase psychiatrique. Tout graver .Tout le temps. J’ai pas envie de crever. Dormir. Mourir. Quelle différence. Je ne veux pas dormir. Eveil. Eveil. Réveil. Connecter. Moi je m’en fou, je n’ai pas de domicile. Je n’existe pas . Je suis entre les lignes, dans l’interstice. Arrêter les points. Arrêter les virgules. Arrêter la ponctuation. Je n’ai plus faim je ne dors plus je ne suis plus éveillé je suis dans l’antre deux monde je flotte je ne touche plus le sol rien ne me touche tout m’indiferre je ne ressens plus rien ni bon ni mauvais je m’en fou je m’en fou mais alors d’une force finalement tu le sens quand ça couche alors il faudrait enrayer le grand blocage la blocaison et puis sans doute faire semblant ou alors et alors jouer ou l’inverse jouer faire farce de tout la lutte la conscience de la lutte se battre l’incapacité d’organiser quoi que soit dans la cervelle le bordel perpétuel permanant la chaos interne l’erreur système interne le chaos calme l’extérieur endormi l’intérieur qui brûle ou la la dis donc c’est le galop des furies peut-être on ne saura jamais laisser le bordel en bordel le bordel en expansion le bordel en désorganisation on nous vend le système désordonné comme ordonné laisser le système désorganisé comme système d’organisation quand est-ce que cela a commencé quels sont les marqueurs temps comment en sommes nous arriver là dire que tout cela est normal accepter c’est devenu comme ça le monde on est au courant de tout et on consomme le monde se consume comme tout à chacun mourir à petit feu.
La Grève des électeurs “Les moutons vont à l'abattoir. Ils ne disent rien, et ils n'espèrent rien. Ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, ni pour le bourgeois qui les mangera. Plus moutonneux que le mouton, l'électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des Révolutions pour conquérir ce droit.” Octave Mirbeau., Le Figaro, 28 novembre 1888
j’ai peur de mourir, j’ai peur de ne pas vivre, j’ai peur, la brebis, la brebis, j’ai peur de ne pas être là, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, j’ai peur de perdre pied, j’ai peur du manque de sommeil, j’ai peur de ne pas dormir, j’ai peur de dormir, j’ai peur de la somnolence, j’ai peur de l’irréalité, j’ai peur de la réalité, j’ai peur d’être enfermé, je suis enfermé, j’ai peur du bouillonnement, j’ai peur que mon crâne explose, mon crâne explose, j’ai peur parce que ça tape, ça cogne au-dedans, j’ai peur de me faire taper, j’ai envie de me faire taper, j’ai peur de ne pas être heureux, j’ai peur de cette brume, j’ai peur de ce calme, j’ai peur d’écouter cette chanson en boucle pendant des heures, j’ai peur d’écouter cet album, j’ai peur de revendiquer le droit de vivre, j’ai peur de l’homosexualité, j’ai peur de parler, je ne parle pas, je parle jamais, j’ai peur des féministes, j’ai peur qu’elles me frappent, j’ai peur des juifs, j’ai peur des camps de concentration, j’ai peur des barbelés, j’ai peur des miradors, j’ai peur des chiens, j’ai peur des loups, j’ai peur de sortir, j’ai peur de sortir dehors, j’ai peur de voir des gens, j’ai peur de prendre ce train, j’ai peur du train train, j’ai peur de rentrer chez moi, j’ai pas envie de rentrer chez moi, je n’ai pas de chez moi, j’ai peur de la folie, j’ai peur de sombrer dedans, la peur de sombrer, ombré, ombre héros, j’ai peur de l’ombre, j’ai peur des câbles qui pétent, j’ai peur de Mozart, peur de Wagner, peur des establishment culturels, j’ai peur de me faire coloniser, j’ai peur d’appartenir à l’espèce humaine, je n’ai plus de larmes, j’écoute les chœurs de l’armée rouge, la prise de la bastille, j’ai peur, j’ai peur des églises, j’ai peur des mormons et des Jehova, j’ai peur de la lumière divine, je suis en train de mourir, j’ai peur de la cancérisation, j’ai peur de tous ces gens en noir, j’ai peur de la bible,
j’ai peur de la brume qui envahit jusqu’au cerveau, c’est ce que l’on appel en termes techniques la dégénérescence des cellules, la cancérisation de la matière amniotique, ou plus communément la putréfaction à l’oxygène
j’ai peur qu’il soit trop tard, j’ai peur de trembler, j’ai peur du tremblement, peur du vide, tout est tellement empli, j’ai peur du flux continu d’information, j’ai peur du débordement, j’ai peur de l’infini, de l’expansion de l’univers, peur du cosmos, des âmes errantes, peur des ombres que je vois parfois, peur des présences d’autres mondes, peur des dimensions parallèles, j’ai peur de rester là, je reste là, peur du temps qui s’écoule, qui s’égoutte, qui s’égrainent, des secondes qui s’éparpillent, j’ai peur de la prescription,
j’ai peur d’être allongé dans un cercueil, j’ai peur d’être allongé, de ne pas me réveiller, j’ai peur d’avoir les neurones cramés, j’ai peur de ce cancer du cerveau, j’ai peur
j’ai peur de bloquer sur un regard, j’ai peur que tout m’indiffère, j’ai peur de la folie,
tiens, j’ai le cœur qui bat la chamade… c’est l’émotion, c’est ma première fois, je suis exalté, je suis tout frétillant, comme une pucelle